NUIT BLANCHE (Texte d'un temps où ma plume osait le dire ) piou
Il prit ses lèvres en un long et intense baiser soufflé d'une flamme
Elle soupira d'aise d' être une femme sous la caresse des siennes
Les yeux fiévreux plongés dans les siens comme s'il voulait violer son âme
Cette nuit blanche ,il la rêvait Ô frôler la voûte épicurienne
Elle effleura des doigts les mèches argentées qui éclairaient ses tempes brunes
Sous la lumière tamisée l'atmosphère était couleur ocre ,une mélodie ambre
Leurs deux corps nus se désiraient ,brûlaient et sans un mot s'allument
Ils s'abandonnaient aux délices de parcourir de leurs mains ces formes qui se cambrent
De sa paume il palpa un téton , puis l'autre ,puis ses deux seins lourds ,blancs soyeux ,offerts
Elle plongeait ses doigts sur la toison de son torse viril ,massait de douces caresses
Leurs deux êtres semblaient fusionner en un seul au rythme des vagues d'une mer
Leurs parfums se mêlaient exhalaient aphrodisiaques enivrantes faiblesses
Ils se découvraient se cherchaient se dessinaient telle une toile sans mots
Quand ses mains audacieuses se perdirent au plus bas de son intimité
Il savait qu'il dégustait cet îlot le plus pur le plus vrai ,son sang fût plus chaud
Comme celui de celle qui lui offrait ces moments ,d'amour qui se gravent pour l'éternité
De ses doigts il jouait entre le bouton de rose et son humide île secrète
Elle gémissait de plaisir ,ses mains se perdaient dans sa chevelure
Cette jouissance ne partageait aucune barrière aucune cachette
Ces sensations uniques délicieuses ne possédaient plus aucune serrure
Les vagues de plaisirs érigeaient son trophée ,son arme sa plus belle gloire
Elle s'en empara d'une douceur exquise pour la porter à sa langue qui lui susurra
Toutes ces fluides folies ,toutes ces envies ,tous ces reflets d'un tendre miroir
Sa bouche audacieuse lui procurait le plaisir qui rend fou ,ou mène au trépas
Il posa ses jambes fines sur ses épaules Ô oui son sexe prêt à la pénétrer
Dans une plainte rauque il s'enfonça dans un va et vient des plus exquis
Quand cet amour profond se mêle vigoureusement il n'est plus que vie
Deux corps se donnent se soulèvent de coups de reins ,c'est ça aimer
Leurs souffles précipités se perdaient ,mais elle voulait plus ,elle voulait encore
Elle bascula ce jeu pour être cette femme qui jouit fait jouir ,qui tente la mort
Cette amazone qui le chevauche au plus profond de ses folies ses désirs
Atteindre enfin dans un cri rauque les ailes du monde du plaisir ,
LILASYS
Il prit ses lèvres en un long et intense baiser soufflé d'une flamme
Elle soupira d'aise d' être une femme sous la caresse des siennes
Les yeux fiévreux plongés dans les siens comme s'il voulait violer son âme
Cette nuit blanche ,il la rêvait Ô frôler la voûte épicurienne
Elle effleura des doigts les mèches argentées qui éclairaient ses tempes brunes
Sous la lumière tamisée l'atmosphère était couleur ocre ,une mélodie ambre
Leurs deux corps nus se désiraient ,brûlaient et sans un mot s'allument
Ils s'abandonnaient aux délices de parcourir de leurs mains ces formes qui se cambrent
De sa paume il palpa un téton , puis l'autre ,puis ses deux seins lourds ,blancs soyeux ,offerts
Elle plongeait ses doigts sur la toison de son torse viril ,massait de douces caresses
Leurs deux êtres semblaient fusionner en un seul au rythme des vagues d'une mer
Leurs parfums se mêlaient exhalaient aphrodisiaques enivrantes faiblesses
Ils se découvraient se cherchaient se dessinaient telle une toile sans mots
Quand ses mains audacieuses se perdirent au plus bas de son intimité
Il savait qu'il dégustait cet îlot le plus pur le plus vrai ,son sang fût plus chaud
Comme celui de celle qui lui offrait ces moments ,d'amour qui se gravent pour l'éternité
De ses doigts il jouait entre le bouton de rose et son humide île secrète
Elle gémissait de plaisir ,ses mains se perdaient dans sa chevelure
Cette jouissance ne partageait aucune barrière aucune cachette
Ces sensations uniques délicieuses ne possédaient plus aucune serrure
Les vagues de plaisirs érigeaient son trophée ,son arme sa plus belle gloire
Elle s'en empara d'une douceur exquise pour la porter à sa langue qui lui susurra
Toutes ces fluides folies ,toutes ces envies ,tous ces reflets d'un tendre miroir
Sa bouche audacieuse lui procurait le plaisir qui rend fou ,ou mène au trépas
Il posa ses jambes fines sur ses épaules Ô oui son sexe prêt à la pénétrer
Dans une plainte rauque il s'enfonça dans un va et vient des plus exquis
Quand cet amour profond se mêle vigoureusement il n'est plus que vie
Deux corps se donnent se soulèvent de coups de reins ,c'est ça aimer
Leurs souffles précipités se perdaient ,mais elle voulait plus ,elle voulait encore
Elle bascula ce jeu pour être cette femme qui jouit fait jouir ,qui tente la mort
Cette amazone qui le chevauche au plus profond de ses folies ses désirs
Atteindre enfin dans un cri rauque les ailes du monde du plaisir ,
LILASYS